Depuis maintenant un an, la majorité des sports marche au ralentit. Le tennis par exemple reste très impacté par la situation sanitaire. Nous sommes allés à la rencontre de Damien Michel, président depuis 5ans du Tennis Club de Saint Priest en Jarez (TCSPJ).
- Comment avez-vous vécu la période de crise sanitaire au sein du TCSPJ ?
Très difficilement, au départ certains joueurs ou parents ne comprenaient pas forcement l’arrêt des compétitions ou des entraînements. Tout le monde semble maintenant résigné. Je rajouterai que cette baisse d’activité aurait pu mettre en péril un emploi comme celui de notre diplômé d’état (DE) Yan Martos.
- Les salles étant fermées depuis assez longtemps, vos entrainements ont-ils pu continuer en extérieur ?
Oui, nous avons continué les entrainements à l’extérieur pour les adultes. Nous étions forcement dépendant de la météo, pas toujours clémente mais cela permettait tout de même à beaucoup de licenciés de jouer au tennis. Malheureusement ça n’a pas été le cas pour les enfants qui n’ont pas pu reprendre de leur côté. Malgré tout, nous envisageons une reprise pour eux durant les prochaines vacances scolaires, sous forme de stage.
- Mercredi, de nouvelles annonces gouvernementales ont été prises, cela change-t-il quelque chose pour votre club ?
Non, concrètement cela ne va concrètement rien changer.