Derrière son armure de bijoux, colliers et chaines en or, Lewis Hamilton se révèle être un vrai compétiteur, et quelqu’un d’émotif.
A l’issue du Grand Prix de Malaisie qui s’est conclu par un abandon pour le britannique, le pilote Mercedes avait invoqué des forces supérieures pour expliquer ses problèmes de fiabilité. Ces propos ont porté à controverse, et le triple champion du monde a du clarifier sa pensée.
“Les gens me critiquent par rapport à mon état d’esprit, comme quoi je devrais être heureux, même quand je perd. Mais les gens qui font ces commentaires oublient à quel point je suis impliqué dans le sport auto. C’est la même chose pour tous le monde, peu importent ce qu’ils font et comment ils s’impliquent. Moi, je me suis engagé depuis 23 ans.
Le sport auto est une part entière de ma vie depuis que j’ai huit ans. C’est un prolongement de mon corps. C’est comme ça que je le ressent. C’est pour ça que je suis bon. Je ne me contente pas de piloter avec ma tête. J’y met tout mon coeur. Je le ressent dans chaque parties de mon corps ; mon cou, mes poumons…
Je prend du plaisir grâce aux sensations que me procure le pilotage“.
Hamilton est deuxième au classement pilote, 33 points derrière Rosberg.
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